Repéré dans la presse de novembre 2024 – Actualités médicales

26 novembre 2024 -

Retrouvez les 5 actus médicales du mois de novembre sélectionnées par Swing.

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What’s up doc
Publié le 6/11/2024

Le Conseil national de l’Ordre des médecins a rappelé lors d’un communiqué de presse publié le 5 novembre 2024 que les médecins doivent prendre en charge tous les patients, sans discrimination. Comme indiqué dans cet article de What’s up doc, « Cette prise de position s’inscrit dans le cadre de l’accès aux soins des personnes transgenres. ». Le CNOM remémore notamment les obligations, les devoirs et les principes du code de déontologie médicale et de l’attitude des médecins à tenir envers leurs patients.
L’intention est bien de réaffirmer l’engagement du CNOM dans la lutte contre toute forme de discrimination dans l’accès aux soins.

Pour lire l’article en entier : https://www.whatsupdoc-lemag.fr/article/lordre-des-medecins-reaffirme-lobligation-de-soigner-sans-discrimination-les-patients

BEH
Publié le 12/11/2024

Depuis 2016, Santé publique France lance sa campagne pour le Mois sans tabac afin d’inciter les fumeurs à arrêter de fumer ou au moins, à réduire leur consommation tout au long du mois de novembre.

Grâce à une étude mise en place par l’Organisation de coopération et de développement économiques, l’impact de cette intervention a pu être estimé « en comparant les résultats d’un scénario de statu quo (sans mise en place de l’intervention) avec un scénario où Mois sans tabac est mis en œuvre chaque année sur la période 2023-2050. ». Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) présente ici les résultats de cette campagne et le retour sur investissement qui serait « largement favorable. »

Pour lire l’article en entier : https://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/22/2024_22_1.html

Hospimedia
Publié le 18/11/2024

L’hôpital Lyon-Sud a mis en place depuis juin 2024 une unité mobile de néonatologie pour permettre aux bébés nés prématurément d’être à leur domicile auprès de leurs parents. Hospimedia met en lumière cette expérimentation qui assure un suivi médical adapté : « Des équipes composées d’infirmières spécialisées en néonatologie et de puéricultrices se mobilisent quotidiennement pour se rendre au domicile des parents 7j/7 afin d’assurer le suivi de leur enfant prématuré. ». L’objectif est de permettre aux familles de trouver leur équilibre en dehors des hôpitaux. Depuis 2022, ce type de dispositif a permis à 24 nouveau-nés de rentrer chez eux avant la date de sortie estimée.

Pour lire l’article en entier : https://abonnes.hospimedia.fr/articles/20241118-offre-de-soins-l-hopital-de-lyon-sud?at_campaign=EDITION_QUOTIDIENNE&at_medium=Email&at_source=SFMC

Le quotidien du médecin
Publié le 18/11/2024

L’European Heart Journal a publié les résultats d’une étude menée sur le risque hémorragique interne lors de la prise d’anticoagulants associée à celle d’anti-inflammatoires. Le quotidien du médecin rapporte que les chercheurs danois ont « utilisé les données de 51 794 personnes des registres nationaux danois ayant reçu des anticoagulants après un événement thromboembolique veineux » pour  les obtenir. Ces résultats soulèvent que « le risque d’hémorragie intestinale, cérébrale, pulmonaire ou vésicale se révèle multiplié par 2,09 fois » lorsque les patients prennent en concomitance des anticoagulants et des AINS. Il est ainsi recommandé d’éviter de donner ces deux traitements en même temps aux patients, dans la mesure du possible.

Pour lire l’article en entier : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actu-medicale/medicament/ains-et-anticoagulants-le-risque-hemorragique-est-double

JIM.fr
Publié le 19/11/2024

Depuis la pandémie de Covid-19, une augmentation de l’incidence du diabète de type 2 a été remarquée chez les adultes ayant contractés la Covid-19. Une étude a été mise en place pour déterminer si le risque était également plus élevé chez les enfants âgés de 10 à 19 ans après avoir eu ce virus.
Avec une cohorte rétrospective de 600 000 enfants, les analyses comparatives ont porté sur « les variations de l’incidence du diabète de type 2 au cours des 6 mois suivant une infection par le SARS-CoV-2 » et l’incidence « observée chez d’autres enfants du même âge ayant présenté des infections respiratoires mais pas d’infection documentée par le SARS-CoV-2 ». Cet article du JIM révèle ainsi que les données récoltées confirment qu’il y a une augmentation du risque de diabète de type 2 après une infection par le SARS-CoV-2.

Pour lire l’article en entier :  https://www.jim.fr/viewarticle/chez-lenfant-risque-diab%C3%A8te-type-2-augmente-apr%C3%A8s-2024a1000l2g